Bonjour à tous.
Dans ce numéro, il y un article qui, à défaut de m'instruire, m'a beaucoup amusé. Généralement les auteurs écrivent pour aider les lecteurs en partageant un peu de savoir faire. Dans l'article de Claude Lopez, c'est tout le contraire. Il n'a pas réussi à faire fonctionner correctement son aéroglisseur et appelle les lecteurs au secours : "
A l'aide ! Spécialistes des moteurs Brushless(*), venez à mon secours, donnez moi des conseils, de bonnes références." (sic).
Claude, le meilleur conseil qu'on puisse te donner, c'est de t'inscrire sur un forum et expliquer ton problème
avant d'écrire un article. Tu seras plus vite et plus efficacement renseigné mais il n'y a pas de pige à la clef.
Une piste : d'après les photos, il me semble qu'il y a un problème de poids. Les pièces en Meccano, c'est lourd et le reste est à l'avenant. Reste la possibilité de convertir cet aéroglisseur en hydroglisseur. C'est tout aussi amusant à piloter mais il faut de l'eau. On fait du
modélisme naval, non ? En plus, cet aéroglisseur est très mal conçu : il faudrait deux moteurs, un pour la sustentation et un autre, moins puissant, pour la propulsion. Dans les vrais, c'est comme ça.
(*) Brushless ne prend pas de majuscule sauf s'il est en tête de phrase. Ce n'est pas un nom propre mais la traduction de "sans brosse". On trouve d'ailleurs dans les ('mauvaises) traductions de l'anglo-américain le terme de "moteur brossé" pour les moteurs à l'ancienne mode. En France, on parle de balais au lieu de brosses... Les français gardent de la hauteur avec le manche.
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